Jehan DE LE BECQUE, 1272 de notre ère–
- Nom
- Jehan/ DE LE BECQUE/
- Prénom(s)
- Jehan
- Nom de famille
- DE LE BECQUE
Naissance | 1272 de notre ère (1272) evenement: NO sans doute descendant de Jean, qui en 1272 vendit son fief de le Becque, était établi à Roubaix , dès le début du XVème siècle, dans deux fiefs démembrés de la seigneurie de le Rue.(Archives communales de Roubaix- source M. le Chanoine Th.LEURIDAN, président de la Société d'études de la Province de Cambrai.) Ann. Noblesse belge 1921, p. 160) Le pratronyme DELEBECQUE vient du fief du même nom comprenant 12 bonniers et tenues des comtes de Flandre par Jehan DE LE BECQUE qui le vendit à Jeanne de Montreul qui en obtint la réunion au fief de Fintenoît. (Norgen N° 140 p.261) La famille DELEBECQUE de Roubaix descend-t-elle de ce "Jehan de le Bèke " cité dans l'autorisation, datée de mai 1272, que Marguerite, Comtesse de Flandre et de Hainaut, donne à Jehanne de Montreuil de remettre en aumône à l'Abbaye de Flines une dîme qui dépend du fifef de Fontenoit à Roubaix et trois cents livres prises sur ce même fief (Cartulaire de l'Abbaye de Flines). Et ce Jehan de le Becque est-il le "Jehan de le Becque de Mouvaux" bourgeois de Lille en 1304 ? Ou bien la famille DELEBECQUE de Roubaix est-elle une branche d'une famille "LIFEURE", branche dont les membres ont reçu le surnom "de le BIEQUE" et qui entre 1350 et 1370 auraient abandonné leur patronyme d'origine "LIFEURE" pour y substituer leur surnom "de le BIEQUE" ? L'étude des trois plus anciens cartulaires et briefs "faict par le Seigneur Alard de Roubaix" conservés aux A.C. de Roubaix et qui sont datésrespectivement de 1350, 1370 et 1402, incite en effet à former cette hypothèse car différentes parcelles de terre ou de pré, inscrites au Cartulaire de 1350 aux noms de "Jacquemars LIFEURE con dist de le BIEQUE" ou "Willaume LIFEURE dist de le BIEQUE", son frèren sont reprises au Cartulaire de 1370 aux noms de "Li hoir Jacquemars de le BIEQUE" "Willaume de le BIEQUE" Dès le Xème siècle, on eu recours aux "surnoms" pour éviter les confusions entre les noms de baptême (Jean, Pierre, Jacques etc....). Les "surnoms étaient donnés par l'entourage en fonction des particularités physiques et morales, des paticularités de langage, de l'origine géographique, du métier exercé ou d'habitudes diverses. Progressivement ces surnoms vont s'attacher à une famille et devenir le nom de famille. Toutefois ce n'est que dans le courant du XIVème siècle que les noms de famille vont se stabiliser. Il semble bien que les premiers ancêtres de la famille DELEBECQUE de Roubaix aient exercé le métier de forgeron. ( notes relevées dans les travaux sur la généalogie Delebecque du GGRN) Le patronyme de le Becque vient du fief du même nom, comprenant 12 bonniers et tenu des comtes de Flandre par Jan de Le Beke qui le vendit à Jeanne de Montreul qui en obtint la réunion au fief de Fintenoit (source: Nord gen n°140, page 261) |
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Profession | Vendit son fief de le Becque à Roubaix |
Naissance d’un fils | Pierron LI FEURE de LE BIEQUE 1320 de notre ère (1320) (âgé de 48 ans) |
Décès d’un fils | Pierron LI FEURE de LE BIEQUE 1350 de notre ère (1350) (âgé de 78 ans) |
lui | |
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fils |
1320 de notre ère–1350 de notre ère
Naissance : 1320 de notre ère (1320)
48 — Roubaix, 59100, Nord, Nord-Pas-de-Calais, FRANCE Décès : 1350 de notre ère (1350) — Roubaix, 59100, Nord, Nord-Pas-de-Calais, FRANCE |
Naissance | evenement: NO sans doute descendant de Jean, qui en 1272 vendit son fief de le Becque, était établi à Roubaix , dès le début du XVème siècle, dans deux fiefs démembrés de la seigneurie de le Rue.(Archives communales de Roubaix- source M. le Chanoine Th.LEURIDAN, président de la Société d'études de la Province de Cambrai.) Ann. Noblesse belge 1921, p. 160) Le pratronyme DELEBECQUE vient du fief du même nom comprenant 12 bonniers et tenues des comtes de Flandre par Jehan DE LE BECQUE qui le vendit à Jeanne de Montreul qui en obtint la réunion au fief de Fintenoît. (Norgen N° 140 p.261) La famille DELEBECQUE de Roubaix descend-t-elle de ce "Jehan de le Bèke " cité dans l'autorisation, datée de mai 1272, que Marguerite, Comtesse de Flandre et de Hainaut, donne à Jehanne de Montreuil de remettre en aumône à l'Abbaye de Flines une dîme qui dépend du fifef de Fontenoit à Roubaix et trois cents livres prises sur ce même fief (Cartulaire de l'Abbaye de Flines). Et ce Jehan de le Becque est-il le "Jehan de le Becque de Mouvaux" bourgeois de Lille en 1304 ? Ou bien la famille DELEBECQUE de Roubaix est-elle une branche d'une famille "LIFEURE", branche dont les membres ont reçu le surnom "de le BIEQUE" et qui entre 1350 et 1370 auraient abandonné leur patronyme d'origine "LIFEURE" pour y substituer leur surnom "de le BIEQUE" ? L'étude des trois plus anciens cartulaires et briefs "faict par le Seigneur Alard de Roubaix" conservés aux A.C. de Roubaix et qui sont datésrespectivement de 1350, 1370 et 1402, incite en effet à former cette hypothèse car différentes parcelles de terre ou de pré, inscrites au Cartulaire de 1350 aux noms de "Jacquemars LIFEURE con dist de le BIEQUE" ou "Willaume LIFEURE dist de le BIEQUE", son frèren sont reprises au Cartulaire de 1370 aux noms de "Li hoir Jacquemars de le BIEQUE" "Willaume de le BIEQUE" Dès le Xème siècle, on eu recours aux "surnoms" pour éviter les confusions entre les noms de baptême (Jean, Pierre, Jacques etc....). Les "surnoms étaient donnés par l'entourage en fonction des particularités physiques et morales, des paticularités de langage, de l'origine géographique, du métier exercé ou d'habitudes diverses. Progressivement ces surnoms vont s'attacher à une famille et devenir le nom de famille. Toutefois ce n'est que dans le courant du XIVème siècle que les noms de famille vont se stabiliser. Il semble bien que les premiers ancêtres de la famille DELEBECQUE de Roubaix aient exercé le métier de forgeron. ( notes relevées dans les travaux sur la généalogie Delebecque du GGRN) Le patronyme de le Becque vient du fief du même nom, comprenant 12 bonniers et tenu des comtes de Flandre par Jan de Le Beke qui le vendit à Jeanne de Montreul qui en obtint la réunion au fief de Fintenoit (source: Nord gen n°140, page 261) |
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